En relisant articles*, écrits, courriers de l'OFFICE 64 depuis 14 ans, il est évident que les auteurs ne sont pas les habitants du Sextant, et ne connaissent pas du tout le quotidien, l'environnement, la vie tout simplement dans cet immeuble. Mauvaise volonté, manque d'intérêt, manque d'empathie, aucune motivation de vouloir améliorer le cadre de vie, l'élémentaire est mis aux oubliettes.
*Article Journal Sud-ouest, juillet 2010
Ce n'est pas comme si nous étions à Breuer ou Balichon, ou une ZUP gigantesque. Ici, 56 logements composent l'immeuble. Il serait facile de remédier au minimum d'améliorations. Ou bien, c'est là que le bât blesse, trop modeste pour avoir une aura médiatique, Le Sextant n'intéresse ni le président, ni le directeur de l'OFFICE 64.
Un *bâtiment social tourné vers la jeunesse : non, la population est âgée, beaucoup de turn-over, déménagements se suivent, car aucun attrait, aucun espace propre pour les enfants, idem dans la zone dortoir ZA de Hausquette, le néant.
*La promesse de commerces de proximité. Que nenni, des assureurs, des agences immobilières, des professions libérales, une agence d'aide à domicile. C'est vrai, ça fait vachement ''jeune''.
11 commerces occupent le rez-de-chaussée, ce qui constitue la fameuse copropriété dont le Syndic a la toute puissance pour décider quoi faire, où plutôt ne rien faire, au niveau réparations, aménagements ... 15 jours pour une fuite d'eau, 3 semaines pour autre chose, changer une ampoule grillée, c'est toute une histoire qui dure des mois... Ce Syndic est d'une inefficacité dévastatrice. C'est bien pratique, le tenancier d'une entreprise des fameux 11 commerces devant s'occuper de la maintenance, le tenancier étant président de Syndic qui facture, Syndic que le locataire paye, et doit se taire ....
Voici ci- dessus la réponse systématique de l'OFFICE 64
Il y avait largement l'espace pour un Local Collectif Résidentiel, c'est à dire les ''mètres carrés sociaux''. De quoi rager, l'OFFICE 64 a préféré vendre, comme les places de parking souterrain. Rien pour se réunir, une cour impraticable pour cause de saleté et bruit, des halls tout aussi inconfortables....
Dans la même illégalité, pas de panneau d'affichage dédié aux locataires, alors que c'est un élément obligatoire, dans les halls. On s'assoit sur les moindres prérogatives des habitants avec désinvolture, sans la moindre culpabilité.
La convivialité, le lien social, pourtant prôné par ce bailleur a longueur de blablatage, l'implication, l'entre-aide entre voisins passe aux oubliettes.
Impossible de se rendre dans l'aile opposée, barricade, le badge ne fonctionne pas, oups surtout éviter tout simplicité entre voisins, tout rapprochement.
Un portail numérique de soi-disant dialogue, nullissime, des agents qui n'ont pas la politesse d'un simple bonjour.
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Un *immeuble tourné vers l'écologie, disait cet article de 2010.
On ne s'en était pas aperçu.
Des conteneurs poubelle avec une odeur pestilentielle, qui remonte vers les étages. Hygiène ?
Les persiennes, entre parenthèses, non validées par les assurances habitation, car pas de fermeture, ne protègent ni du froid, ni de la canicule, donc green-washing, comme le reste. Et question luminosité, venez donc constater par vous-mêmes cet euphémisme.
(Prochainement aussi, enregistrement sonore de la fermeture, ou ouverture de ces persiennes, et autres nuisances sonores constituant douleur, mal-être.)
Décidément, Frédéric Armengau de Concept Architecture, et Nobatek ont une curieuse notion d'écologie, et de respect de la quiétude des habitants.
Le refus d'installer composteurs collectifs, de créer jardin avec verdure, fleurs. Pourtant, on lit par ci par là que I'OFFICE 64 est au top en matière de respect de la loi Climat et résilience. Si bien que les tontes de la maigre zone de pelouse est archi rasée à longueur d'année, faisant fi des demandes d'arrêter ce massacre. A quoi sert le pseudo service '' Patrimoine et Cadre de Vie '' et ces 8 personnes payées par le contribuable ? Est-ce que l'on demande la lune, non, les demandes depuis des années, sont juste légitimes.
L'OFFICE 64, l'office public de l'habitat du NON, NON à tout, sans dialogue, sans expertise, Le Sextant victime de sa petitesse, sans envergure. Quel sera l'avenir des gens là dedans, quelle perspective, toute envie, toute initiative sont tuées dans l'oeuf ? Aucune envie de crever ici. Pourtant, 3 suicides parmi les habitants.
Le dialogue, ici au Sextant, consiste pour le Président de ce bailleur social, à porter plainte contre l'habitant qui ose s'indigner, et qui réclame le minimum auquel il a droit, lui, et tous les habitants de l'immeuble.
Procès à venir le 19 novembre 2024
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