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Le nombre de recettes devenant assez conséquent, j'ai décidé d'ouvrir un autre site, à part de celui-ci, consacré uniquement aux recettes, produits locaux, alimentation, gastronomie...
A bientôt donc sur Cuisine en Pays Basque !!
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Par cette matinée venteuse et pluvieuse du 21 février 2015, le bagad de Lann-Bihoué est venu défilé à travers places et ruelles de Bayonne. Échauffement place du Général de Gaulle, proche du kiosque à musique, puis départ de la place de la Liberté, remontée de la rue Port Neuf, à gauche rue Orbe, Cinq Cantons, rue de la Salie, à gauche rue Guilhamin, puis quai du Commandant Roquebert... puis les musiciens ont continué leur chemin vers la cathédrale...
Répétition, puis abri sous les arcades de la mairie, et départ...
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Samedi dernier, à la même heure, 10h30, plusieurs villes/villages en Pays Basque ont vu les banderoles de
EH Bai déployées devant divers établissements publics de proximité, menacés de fermeture par le gouvernement.
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L'office de tourisme de Bayonne est en travaux. Le bâtiment existant est en pleine rénovation, et dans le prolongement un agrandissement va ainsi doubler la surface définitive, ceci pour un meilleur accueil des visiteurs, leur nombre étant en progression. La durée des travaux sera d'un an (jusqu'au début février 2016), et pendant ce temps, l'accueil du public est maintenu. La Place des Basques voit son paysage bien chamboulé, mais les bus, les autocars et autres véhicules ont toujours leurs places bien alignées, et les sans-abris peuvent y conserver leurs habitudes sans trop d'incommodation ....
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" La femme basque - Biarritz "
En remontant l'avenue Foch, au coin de la rue Etienne Ardoin, direction Jardin Public, on ne peut pas la rater (600 kg de bronze, 3 mètres de haut). Puissante, imposante, solidement campée sur ses jambes, "La femme basque" scrute, elle est concentrée, inspirée, elle regarde l'horizon, l'océan ?
Le sculpteur : Fransisco Leiro, août 1999
Elle trône là, sur cette placette en pente, comme si elle avait les pieds dans l'eau, comme au bord du littoral, le sol est sillonné, comme marqué par les vaguelettes et le ressac.
Mais qu'attend-elle ? Le retour du marin-pêcheur ? Elle est le symbole de l'avenir qui s'ouvre, vers l'inexorable ? Très belle statue émouvante, de par sa stature, de par sa solennité, son calme masque l'anxiété.
Pourtant je regrette que cette œuvre se trouve là, un endroit trop exigu, face, non pas à l'océan comme le présageait la symbolique de cette statue, mais face à un carrefour de ruelles, avec voitures et autres engins à moteur. Nullissime, d'emprisonner cette femme sur ces quelques mètres carrés de béton, elle ne connaîtra jamais les embruns, ni les couchers de soleil, mais la pollution et les cacas de pigeons dans l'indifférence des gens qui passent, sans la regarder.
"Itsasoa lano dago. Nik zu zaitut maiteago arraintxoak baino."
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